« Le scandale de l’univers n’est pas la souffrance, c’est la liberté[1] » écrit Bernanos au sortir de la guerre. La facilité avec laquelle les gouvernements du monde ont mis en résidence surveillée la moitié de l’humanité est un exploit sans précédent. La peur engendre d’autant plus facilement l’obéissance que le pouvoir se veut protecteur. Le Premier …
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