Depuis le 22 novembre, sur les réseaux sociaux, de nombreux députés, sénateurs ou eurodéputés ont annoncé leur participation à l’opération « un otage, un parlementaire », consistant pour les élus volontaires, dans le cadre de cette démarche transpartisane, à parrainer individuellement une des victimes du rapt du Hamas. Une campagne à laquelle participent notamment la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, la sénatrice des Français de l’étranger Samantha Cazebonne, le député Marc Ferracci ou l’élue pour l’Amérique du Sud, Eléonore Caroit.
Une action symbolique
Concomitamment à l’annonce d’un accord de libération de 50 premiers otages par le Hamas, notamment des femmes et des enfants, quelques 260 parlementaires français ont participé mercredi au lancement de l’opération « 1 otage, 1 parlementaire ». Chacun muni d’une photo d’un captif retenu par l’organisation terroriste, ils se sont réunis à la mi-journée devant les trois chambres concernées : Assemblée nationale, Sénat et Parlement européen.
Depuis, les élus participants publient régulièrement sur les réseaux sociaux la photo des otages, jusqu’à leur libération. Objectif de la démarche : « Lutter contre l’oubli et humaniser les otages », explique Mathieu Lefèvre. Président Renaissance du groupe d’amitié France-Israël du Palais Bourbon, le député du Val-de-Marne est à l’origine de cette initiative, avec sa collègue macroniste Caroline Yadan.
8 Français toujours retenus
La France est toujours sans nouvelles de 8 de ses citoyens depuis plus de six semaines. Parmi les 240 otages du Hamas, pourraient ainsi se trouver ces Français portés disparus depuis les attaques terroristes. Des Franco-Israéliens pour la plupart, qui ont disparu dans le chaos du 7 octobre quand le kibboutz où ils vivaient a été attaqué ou lorsque les terroristes du Hamas sont entrés dans le festival Tribes of Nova.
Auteur/Autrice
-
Loic Pautou est un jeune Français parti en VIE au Vietnam et qui n'est jamais revenu. Propriétaire d'une agence de tourisme à Hanoï, il écrit aussi pour Lesfrancais.press et le Guide du Routard.
Voir toutes les publications
Excusez-moi, sommes nous obligés de lire le récit du gapsillage de l’argent public?
Je rappelles que ces gens vivaient dans ce qui est une zone de guerre.
La solidarité humaine ne doit en aucun cas conduire à engager les autorité publiques en faveurs de personnes qui se sont elles même misent en danger.
Un francais qui se rends en Israel pour vivre dans ces zones doit assumer ses engagements et/ou ses choix de vie.
Il s’agit d’un probléme interne à Israel que les autorités locales doivent régler.
On attends de nos dirigeants des prioritées plus en rapport avec la vie quotidienne de la population francaise!