"Si même aux abords de notre université on n'est pas en sécurité, on n'est en sécurité nulle part", déplore une étudiante de Dauphine après le meurtre de Philippine, qui suivait des cours dans cette faculté parisienne, par un Marocain sans titre de séjour. 

"Si même aux abords de notre université on n'est pas en sécurité, on n'est en sécurité nulle part", déplore une étudiante de Dauphine après le meurtre de Philippine, qui suivait des cours dans cette faculté parisienne, par un Marocain sans titre de séjour. 

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