Nouvelle expatriation : la CFE, toujours, aux côtés des entreprises

Nouvelle expatriation : la CFE, toujours, aux côtés des entreprises

Dans un monde en mutation où les visas dédiés aux travailleurs nomades pullulent et où le télétravail devient un outil de management comme les autres, l’expatriation professionnelle a énormément évolué. Si le cadre envoyé en mission par une grande entreprise est depuis 1978 accompagné par la Caisse des Français de l’étranger, celle-ci a depuis 2020 renouvelé sa gamme de produits assurance Santé et Retraite. Le but ? S’adapter aux défis des travailleurs d’aujourd’hui comme de demain. Simplification, transparence et accessibilité furent les maîtres-mots de cette transformation, saluée par tous.

Symbole de son ouverture au monde, c’est dans ses nouveaux bureaux, aux larges espaces vitrés, nichés à quelques pas de la gare St Lazare à Paris, qu’Eric Pavy, le directeur général de la CFE, a convié des responsables des ressources humaines, d’entreprises, fleurons du marché national, mais pas seulement, à un petit-déjeuner dédié aux solutions d’accompagnement inventées par les professionnels de la Caisse des Français de l’étranger.

Pendant toute une matinée, des experts comme Mme Françoise Julien-Degaast, représentant la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse,M. Alexis de Saint-Albin pour Malakoff Humanis, Rachida Kaci pour la CFE, ont pu échanger avec les convives. Ils ont évoqué, bien évidemment, le coût de telles protections. Mais à la Caisse des Français de l’étranger, on pense la couverture santé ou retraite dans sa globalité, comme la prise en charge, l’accompagnement, et pour en parler Eric Pavy avait invité Mme Judith Perreira, du pôle RH d’une filiale du groupe Eiffage et Mme Valérie Stephan pour Safran, deux sociétés clientes de la CFE.

ECOUTER LE PODCAST DE L’EVENEMENT

La CFE, une sécu comme les autres ?

La Caisse des Français de l’Etranger est un organisme de Sécurité sociale, de droit privé chargé d’une mission de service public. Placée sous la tutelle des ministères en charge de la Sécurité sociale et du Budget, elle a l’obligation d’équilibrer ses comptes et ne perçoit aucune aide de l’Etat*. Elle tire ses ressources des seules cotisations de ses adhérents et elle est totalement autonome sur le plan financier.

En 2022, l’équilibre financier est maintenu sur le fil, comme l’a révélé le rapport d’activité, avec 151,6M€ de cotisations pour 150,2M€ de prestations. En plus, la CFE dispose de plus de 174 millions d’euros de réserve, ce qui lui permet de regarder l’avenir sereinement.

Pour l’avenir, la Caisse des Français de l’étranger s’appuie depuis 2022 sur le plan « Cap 2025 ». Ce projet a pour ambitions, entre autres, d’améliorer les services offerts, optimiser la performance de gestion et développer l’audience de la CFE dans le monde.

Parmi les autres objectifs, Eric Pavy, le directeur général, veut renforcer le lien avec les entreprises. En effet, premières pourvoyeuses de contrats il y a encore une décennie, les mutations de l’expatriation ont entraîné une baisse de ce type de contrats.

Écouter Eric Pavy

CFE

Des offres adaptées aux entreprises ?

La CFE assure tous les Français de l’étranger sans questionnaire de santé. Elle protége, donc, l’ensemble des employés expatriés, quel que soit leur pays de résidence. Les droits à la protection sociale de vos employés sont maintenus pendant leur expatriation. Puis, à leur retour en France, ils réintègrent le régime général de la Sécurité sociale. Pour rappel, La CFE est la seule caisse d’assurance qui permet aux salariés de cotiser pour leur retraite comme en France. Désormais, il est possible d’offrir de telles prestations pour des Français qui iraient travailler dans une entreprise non-française ou dans une filiale mais sous un contrat de droit local.

Écouter le témoignage d’un employeur marocain

La santé mais pas seulement…

La flexibilité avec toute une palette de formules permettant au bénéficiaire de conserver Carte Vitale et droits en France, la prise en charge complète dans le pays d’expatriation, en France, pour les ayant droits, sans oublier la retraite.

Que ce soit par mail, par téléphone ou dès janvier 2024 dans les nouveaux locaux basés rue de la pépinière à Paris, il est possible de construire la solution de couverture adaptée à vos besoins.

CFE

Prévoir la retraite

La Caisse des Français de l’étranger est reconnue pour son expertise dans la Santé. Beaucoup oublient qu’elle est aussi le seul acteur qui permet de maintenir sa prévoyance retraite. En effet, à travers la CFE, les entreprises ayant des salariés expatriés ou directement les particuliers résidant hors de France, peuvent continuer à cotiser pour la retraite française, tant en terme de prise en compte de salaires que de trimestres. Une notion bien importante alors que les règles ont changé suite à la réforme mise en place par Emmanuel Macron. Françoise Julien-Degaast de la CNAV au micro de Gauthier Seys vous explique en détail les différentes situations que vous pouvez rencontrer dans le cadre du dispositif Retraite.

Écouter Françoise Julien-Degaast

Au-delà de la simple couverture Retraite, vous le savez, en France, les entreprises du secteur privé doivent cotiser une complémentaire retraite (les fameuses Agirc Arrco dont le gouvernement voudrait récupérer les larges réserves). Hors de France, cette obligation tombe, même pour une entreprise de droit français, à partir du moment où le salarié/bénéficiaire réside en dehors du territoire nationale. Pourtant, là aussi, la Caisse des Français de l’étranger apporte une solution conforme aux attentes françaises. Pour cela, elle s’appuie sur la référence du secteur, Malakoff Humanis. M. Alexis de Saint-Albin vous explique dans le podcast ci-dessous comment mettre en place cette complémentaire.

Écouter Alexis de Saint-Albin

Des experts à l’écoute des entreprises 

On l’a vu, le panel d’offres proposées par la CFE est important et couvre tous les aléas de la vie comme les problématiques qu’on peut anticiper. En plus, aujourd’hui, grâce à leur refonte tarifaire, la visibilité pour les entreprises est renforcée. Mais le mieux pour en parler, c’est d’écouter leurs clients et leurs prospects.

Écouter Valérie Stephan pour Safran

Écouter Sophie Orihel de Constellium

Écouter Claire Bidel de Hutchinson.

Laisser un commentaire

Laisser un commentaire