"Je ne suis pas surpris par la claque qu'a mise publiquement le Premier ministre à Antoine Armand, mais appeler Marine Le Pen, on n'était peut-être pas obligé quand même. On commence à avoir une idée de ce qui nous attend", soupire le député Renaissance, Ludovic Mendes, pourtant proche de la droite.

"Je ne suis pas surpris par la claque qu'a mise publiquement le Premier ministre à Antoine Armand, mais appeler Marine Le Pen, on n'était peut-être pas obligé quand même. On commence à avoir une idée de ce qui nous attend", soupire le député Renaissance, Ludovic Mendes, pourtant proche de la droite.

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